
L'étudiant qui n'oppose aucune résistance prend un violent coup de poing de la part d'un policier ! L'IGPN ouvre une enquête après la diffusion de la vidèo.
Sur une vidéo qui circule ce jeudi, on peut voir un jeune homme être frappé par des policiers en marge du blocus du lycée Bergson, dans le 19e arrondissement de Paris. L'IGPN a été saisie de l'affaire.
La scène, violente, choque. Un jeune homme est à terre, entouré par quatre policiers. Ils remettent le garçon debout, et l'un d'entre eux, après s'être penché vers lui, lui assène brusquement un violent coup de poing. Le jeune s'écroule. On entend des cris.
Des lycéens frappés au sol
Parmi les lycéens, Laetitia*, élève de première au lycée, témoigne: "Je suis arrivée à 6h30 devant le lycée. On mettait les poubelles et les banderoles devant l'entrée de l'établissement, tout était calme. Vers 9h30 ou 10h, des policiers sont arrivés, en civil, puis ensuite des CRS, casqués. Ils étaient une vingtaine ou une trentaine. Des jeunes qui n'étaient pas du lycée ont balancé des oeufs, le feu a été mis à une poubelle. Les policiers ont chargé, ils ont commencé à distribuer des coups de matraque et des balayettes, puis ont tiré des gaz lacrymogènes. Nous sommes tous partis vers l'avenue Bolivar".
Sur une vidéo qui circule ce jeudi, on peut voir un jeune homme être frappé par des policiers en marge du blocus du lycée Bergson, dans le 19e arrondissement de Paris. L'IGPN a été saisie de l'affaire.
La scène, violente, choque. Un jeune homme est à terre, entouré par quatre policiers. Ils remettent le garçon debout, et l'un d'entre eux, après s'être penché vers lui, lui assène brusquement un violent coup de poing. Le jeune s'écroule. On entend des cris.
Des lycéens frappés au sol
Parmi les lycéens, Laetitia*, élève de première au lycée, témoigne: "Je suis arrivée à 6h30 devant le lycée. On mettait les poubelles et les banderoles devant l'entrée de l'établissement, tout était calme. Vers 9h30 ou 10h, des policiers sont arrivés, en civil, puis ensuite des CRS, casqués. Ils étaient une vingtaine ou une trentaine. Des jeunes qui n'étaient pas du lycée ont balancé des oeufs, le feu a été mis à une poubelle. Les policiers ont chargé, ils ont commencé à distribuer des coups de matraque et des balayettes, puis ont tiré des gaz lacrymogènes. Nous sommes tous partis vers l'avenue Bolivar".
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